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DROIT D’ALERTE

Après les marteaux piqueurs utilisés pour le perçage de la dalle, après la ponceuse pour enlever l’amiante non repérée et malgré la tenue du CHS et l’intervention des représentants des OS, la direction n’a toujours pas voulu prendre la mesure de la gêne et du danger occasionnés par les travaux :

 Ecoulement d’eau dans les éclairages du plafond des sous-sols
 Inondations du parking
 Traces d’effritement des plafonds du sous-sol abîmant les voitures
 Bruits,
 Poussière,
 Pollution etc...

Toutes ces nuisances s’ajoutent au stress du travail quotidien et sont insupportables.

Est-ce une volonté délibérée de minorer les problèmes et de dédouaner la direction face à ses responsabilités ?

La CGT et le SNUI ont donc effectué un DROIT D’ALERTE* auprès de la direction.

Quelques extraits d’un mail de la direction adressé à ses chefs de service :
« L’utilisation des marteaux-piqueurs qui a duré bien plus longtemps que ce qui était annoncé est très éprouvante pour l’ensemble des personnels du site..... Je vous demande d’accorder jusqu’à la semaine prochaine des facilités d’horaire » mais « les heures non travaillées devront être récupérées en avril »

Nous réitérons avec virulence notre demande lors du CHS du 29 mars dernier d’une véritable prise en compte de l’allégement de travail. Plusieurs options sont envisageables :

 l’octroi d’une journée ou une demi-journée d’autorisation d’absence accordée par semaine pendant la durée des travaux !
 réduction d’une heure de travail par jour

On nous dit que les travaux seront terminés mardi alors qu’un nouveau bâtiment doit être construit et qu’une passerelle doit voir le jour entre les deux bâtiments ce qui impliquera à nouveau de lourds travaux (cloisons à abattre, désamiantage etc...)

Les travaux vont encore durer des mois voire des années. On nous prend vraiment pour des C....

* l’autorité administrative doit procéder sur le champ à une enquête en présence de l’Inspecteur Hygiène et Sécurité ainsi que le médecin du prévention

Article publié le 31 mars 2011.


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