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Déclaration liminaire CTPD « structures » du 26 du mars 2008

Les documents qui nous ont été remis ne nous permettent pas de nous prononcer sur les évolutions de structure qui nous sont proposées, nonobstant notre appréciation sur la pertinence des structures elles-mêmes.

En effet, s’il n’est pas illogique de mettre le TSM en conformité avec les structures mises en place dans les CDI, il aurait été souhaitable de s’assurer de la correspondance du nombre d’agents employés dans les anciennes structures et de ceux effectivement déployés dans les nouvelles.

Il s’agit de se donner de la visibilité quant au calibrage des effectifs nécessaires au fonctionnement de ces structures….

Toutes ces créations de structure sont indispensables pour mettre en conformité le discours du DSF – réduire voire supprimer les détachements- avec la réalité des services et des affectations réelles des agents qui y travaillent : nous demandons que les tableaux de charges avec les effectifs en concordance nous soient communiqués.

Une fois de plus on ne peut que condamner l’indigence des documents préparatoires à ce CTPD ! ! !

Les services fonctionnent-ils tout seuls ? Maintenant que la dématérialisation des dossiers 2004 papier est effective, la dématérialisation des agents et des charges est-elle en cours ?

Aucune structure touchée ne fait l’objet d’un calibrage explicite de ses effectifs, de qui se moque t on ?
En effet ce « calibrage » est renvoyé à un CTPD de fin d’année qui verra une nouvelle vague de suppression d’emploi…qui risque bien de mettre à mal ces structures !

Ce projet ne restera en somme qu’une pure fiction même une fois entérinées par ce CTPD … avant la fusion avec la DGCP.

Belle occasion de rappeler que contrairement à toutes les logiques mises en œuvre, nous demandons des secteurs à taille humaine et surtout de meilleures conditions de travail : la pénibilité du travail en plateau est reconnue par les ergonomes, et par ailleurs la polyvalence exigée des cadres C fait qu’on leur demande tout, alors que l’on transforme les cadres B en « chef de service –bis », eux qui souhaitent rester des techniciens et des collègues !

Une fois de plus les organisations syndicales ne sont pas considérées comme des partenaires associés au dialogue puisqu’elles ne disposent pas des informations indispensables à l’appréciation des évolutions que la DGI impose.

Article publié le 2 avril 2008.


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